La valise minimaliste

Qu’on parte trois jours à New York ou deux semaines en Croatie, notre bagage ne devrait contenir que l’essentiel. Le but étant de ne pas enregistrer sa valise (c’est tellement libérateur!), il faut bien évaluer ses besoins et laisser le reste à la maison. Quelques pistes.



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Planifier Commencer avec une liste de trois ou quatre looks qu’on va porter, en pensant à toutes les circonstances du voyage et aux permutations permettant de créer d’autres «sous-looks». Résister à la tentation d’ajouter des morceaux inutiles. Porter le look le plus lourd et/ou volumineux dans l’avion.

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Trouver sa palette Une couleur de base, neutre, deux couleurs complémentaires. Pour que tout s’agence.

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Trois paires de chaussures, max Les deux paires les plus légères vont dans la valise. Porter les plus lourdes dans l’avion.

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Penser superpositions Une camisole + un tee-shirt + un pull fin + une veste légère, c’est plus polyvalent qu’un gros coton ouaté et ça prend le même espace.

5

Choisir des matières légères et lavables, qui sèchent rapidement Non, le denim n’est pas idéal. Ne pas oublier le Ziplock de poudre à lessive!

6

Toujours avoir une ou deux grandes écharpes Dont une, dans l’avion. On s’en servira comme couverture, comme paréo, comme châle, comme couverture de plage. Et aussi pour changer le look de nos tops.

7

Compartimenter Miser sur les sacs de compression, qui permettent d’évacuer l’air et de réaliser des économies d’espace étonnantes. On en trouve chez les bagagistes, La Baie, MEC. Moins écolos, les sacs à glissière de type Ziplock peuvent faire le travail pour les plus petits articles – et en plus, ils sont pratiques pour classer sous-vêtements, chaussettes, bijoux, et ranger des maillots humides. Enfin, c’est prouvé, les vêtements roulés plutôt que pliés prennent nettement moins de place.

8

Choisir le bon sac À moins de partir en expédition, un fourre-tout refermable est préférable au sac à dos parce qu’il permet un accès facile en tout temps. Le sac de nylon Le Pliage de Longchamp, pas donné mais pas tuable, est un excellent compagnon de voyage. En prime, il se convertit en sac de plage ou en sac shopping. Surveiller les soldes chez Ogilvy et Holt Renfrew.

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Deux indispensables, peu importe où l’on va
– Un maillot, parce qu’il y a toujours une piscine intérieure ou un spa quelque part et parce que ça ne prend pas de place.
– Une veste puffy en duvet qui se compresse en format trousse à maquillage (c’est Uniqlo qui fait les meilleures, mais ils ne livrent hélas pas au Québec) parce que ça sert d’oreiller et de coupe clim dans l’avion et que ça tient étonnamment au chaud si le temps est au frais.

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La trousse de cosmétiques Pour braver la police des liquides et rester aussi minimaliste que possible, attendre d’être à destination pour acheter shampoing de tous les jours et crème solaire, qu’on laissera au suivant au moment de partir. Remplacer le lait démaquillant par un baume nettoyant ou un mini pain de savon, et on opte pour du maquillage multifonctions comme les fonds de teint et blushs en stick, qui font aussi office d’anticernes et de rouges à lèvres. Une bonne idée: garder en permanence une trousse de voyage, où l’on accumule au fur et à mesure les petits formats d’hôtel et les cadeaux avec achats de chez La Baie et cie. Ça nous permet de gagner du temps au moment de faire notre valise!

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